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Après la publication de Rose de La Tuque sont parvenus à l’éditeur de nouveaux écrits : la chronique tenue en 1942 par son amie viennoise, Sarah Polanski, dite Zweig.

Par un retournement de situation comme seule la guerre en permet, l’étudiante juive entrée illégalement au Canada est recrutée par le Renseignement canadien et devient Estelle Lavoie, agent secret. Elle se trouve bientôt en apprentissage à Londres sous une couverture de secrétaire à la maison du Canada, le Haut-Commissariat que dirige Vincent Massey. Courtisée par Will Winter, son agent traitant, Sarah espère retrouver son amoureux, Hugues Blackburn, pilote de l’aviation déjà engagé dans la bataille. Elle tient aussi à combattre les nazis qui ont tué ses parents en 1927, quand elle avait onze ans.

La nièce dite adoptive de Stefan Zweig n’oubliera pas son passé viennois, ni ses études à la Sorbonne. Elle continuera de s’intéresser aux écrivains de son époque, d’abord à Zweig, mais aussi à Valéry, Woolf, Sartre, Huxley, ou d’autres comme Rilke et Scott. L’espionne se confie dans des cahiers et carnets qu’elle envoie périodiquement à Rose.

Sarah Zweig, D’amour et de guerre, le roman d’une jeune femme pour qui l’amour mène le combat.

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