— Y a juste avec toi que j’ai envie d’être.
— Moi aussi.
— Parce qu’on peut plus être avec lui… souffle Jean-Thomas.
— Ou parce qu’on arrive à l’être un peu.
Sam, c’était l’amoureux d’Alexandra, et aussi le meilleur ami de Jean-Thomas. À trois, ils étaient bien, heureux, inséparables. Sauf que Sam est mort. Brusquement.
Parce que Sam était leur milieu, leur grand amour, Alex et Jean-Thomas devront affronter ensemble cette douloureuse absence. Ils s’accrochent l’un à l’autre pour continuer de faire vivre Sam à travers eux, tirer des bribes du passé et donner à leur peine la même ampleur que l’amour qu’ils ont perdu. Parce qu’il aurait été difficile de dire lequel des deux l’aimait le plus.
Un roman-fleuve poignant qui explore les relations amoureuses et amicales avec un regard résolument moderne.
On en parle
C'est un premier roman touchant — sur l'amour, l'amitié, la perte. Une nouvelle plume que l'on découvre avec enthousiasme, à travers l'histoire de trois jeunes adultes dans la vingtaine qui vivent probablement les moments les plus intenses de leur vie. [...] Et c'est toute la sincérité de cette écriture simple, sans artifices et spontanée qui fait qu'on s'attache immédiatement aux personnages et qu'on finit par ressentir tout ce qu'ils éprouvent au quintuple.
— Laila Maalouf, La Presse, 20 novembre 2021
Ce premier roman de Marianne Brisebois explore les relations amoureuses et amicales d'un angle particulièrement touchant et résolument moderne.
— Le Journal de Montréal, 2 décembre 2021
Roman poignant sur le deuil, l'amour, l'amitié et les aléas de la vingtaine. [...] Ce roman, avec un regard moderne, vous fera rire, puis pleurer quelques pages plus tard.
— La CliQc, 22 novembre 2021
Des mots magnifiques pour raconter le deuil, la reconstruction et surtout la renaissance un pas et un souvenir à la fois.
— Pour l'amour de mes lectures, 22 octobre 2021
Ce roman, bouleversant par moment, est surtout lumineux grâce à la relation forte, presque fusionnelle, qui unit ces trois personnages, tout au long de cette histoire.
— Shirley Noel, Les ArtsZé, 26 octobre 2021