Au deuxième étage d’un duplex du Plateau, Xavier fixe l’horizon. Après avoir abandonné ses études, son implication militante à l’université et le stage de ses rêves, il se retrouve devant bien peu de choses – à part peut-être Éli, dont il partage l’appartement.
Accablé par la honte, Xavier essaie d’éviter de penser aux épisodes sombres d’un passé trop récent pour être oublié. Mais entre les souvenirs qui l'empêchent de dormir se dessineront peu à peu les petites et les grandes violences qui donnent le vertige, peu importe la hauteur du balcon.
Pour passer outre, Xavier devra mettre des mots sur ce qui lui est arrivé, ce qui le dévore de l’intérieur.
Un récit à la fois doux et amer, réaliste pour le pire, peut-être trop beau pour le meilleur.
On en parle
Une amitié au masculin qui fait du bien. [...] La grande force de Marianne Brisebois c'est sa plume remplie de finesse, de doigté et de sensibilité qui fait qu'elle peut aborder des sujets forts complexes et inhabituels avec beaucoup d'humanité et d'émotions qu'elle nous transmet si aisément.
—Les Artszé, 30 mai 2024
Balcons, c’est un livre doux-amer où l’amitié se construit en force. Un récit qui n’a pas peur de traiter de sujets essentiels comme la masculinité toxique avec des conversations sans filtres, des personnages à la frontière du réel, qui, comme la plupart d’entre nous, tentent de naviguer dans ce monde où les enjeux de santé mentale s’ancrent dans le quotidien.
—Atuvu.ca, 4 mai 2024
Comme dans ses autres romans, Marianne Brisebois a créé des personnages vibrants, dont les liens témoignent de la force des relations humaines.
—Les Libraires, juin-juillet-août 2024