Imaginez un instant un univers où les rôles sont inversés. L'intégralité de la population est née avec un trouble du spectre de l'autisme. La société est parfaitement organisée, conçue en fonction des besoins de ses individus.
Ensuite, il y a vous, tout petit vous, qui venez au monde. Vous êtes, dans notre monde à nous, parfaitement normal. Par contre, dans cette histoire, vous êtes handicapé. Un cas lourd, difficile à encadrer. C'est le monde à l'envers.
C'est la réalité compliquée de Guillaume, jusqu'à ce qu'il fasse la rencontre de Grace, la seule personne en mesure de le comprendre.
On en parle
Entre science-fiction et roman psychologique, Dépourvu entraine le lecteur dans une société surprenante afin de parler de différence, d'autisme et d'amour dans une histoire accessible à tous les lecteurs. L'histoire donne l'envie d'en savoir plus sur l'autisme et la plume fluide de l'auteure fait en sorte que le roman offre une lecture agréable.
– Sophie Lit
Dépourvu, un premier roman étonnant et réussi ! [...] Un livre qui fait réfléchir au sens du terme « inclusion » à la pertinence de la sensibilisation à l'autisme afin de briser les tabous et de réaliser à quel point les personnes autistes sont bien plus que leur diagnostic et qu'elles ont tant à nous apprendre sur elles, sur le monde et sur nous-mêmes.
– Stéphanie Deslauriers, Les Ptits mots dits
Cette histoire troublante, très bien écrite et pour le moins passionnante, provoque de nombreux questionnements sur notre vision de la société, de la différence, et de l'autisme en particulier. Impossible de rester insensible à l'histoire [...].
– Fédération Québécoise de l'autisme
Un joli tour de force d'une auteure québécoise qui n'a que 18 ans.
– L'actualité, 30 septembre 2016
Roman audacieux que ce Dépourvu. [...] Une façon pertinente de comprendre l'autosme sous un angle nouveau, de saisir que la différence n'est pas toujours là où l'on croit.
– « Les choix de la rédaction », Les Libraires, juillet-août 2016
« Plus les adultes vont en apprendre sur les troubles mentaux, plus ils ont prendre la plume pour transmettre ces connaissances à leurs enfants et aux générations futures. Il ne faut pas désespérer lorsque l'on voit qu'il manque de romans sur les maladies mentales. Le meilleur s'en vient ! »
– Victoria Grondin en entrevue pour Les Libraires, juin-juillet 2016
Une œuvre singulière, bien menée, voire captivante [...] Les personnages, notamment le narrateur, s'avèrent riches et crédibles, attachants, et la réalité des jeunes autistes apparaît extrêmement bien décrite, par une auteure qui s'y connaît.
– Lurelu, hiver 2017