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Un peu de réel dans la fiction

Le secret d’une bonne intrigue ? Un imaginaire débordant, des personnages florissants et un soupçon (parfois deux !) de réel !

Nous vous le prouvons à travers six romans, inspirés du parcours et des réflexions profondes de leur autrice, qui trouvent leur équilibre entre créativité et authenticité.

Chaque histoire d’amour est unique et ébranle nos certitudes autour de l’engagement. Entre l’obsession du coup de foudre et la douce valse du quotidien à deux, où se trouve la recette du bonheur ?
Dans une prose pleinement assumée, Valérie Chevalier dresse le portrait d’une relation remplie de passions et de défis. De l’intensité des premiers mois aux questionnements plus profonds sur le désir, le couple et la maternité, la narratrice replonge dans ses idylles du passé pour comprendre celle qu’elle est devenue.
Un plongeon dans l’autofiction sous sa forme la plus pure,  alors que la narratrice, à la recherche d’un rempart, tente d’écrire ce qu’elle a le moins envie de dire, réfléchissant à ses blessures d’enfance, ses écorchements amoureux, ses rapports d’autorité malsains et ses impasses professionnelles.
Bercée par l’ivresse grisante des amours naissantes, affolée par les vertiges inévitables qui les accompagnent, la narratrice traverse son lot de tourmentes et se relève aussi prestement que la dernière chute a été soudaine et fulgurante.
Dans un récit où la poésie fait écho à la prose, Le vacarme des possibles offre un portrait fragmenté de l’amour, qui laisse dans le sillage de ses déportations multiples autant de nostalgie que de lumière.
Émilie et Olivier jonglent avec un quotidien débordant d’amour, de situations anxiogènes, d’accomplissements professionnels, de crises enfantines et de crèmes glacées mangées en catimini. Comblés par leurs deux filles, ils ont bientôt envie d’agrandir la famille.
Leur volonté est rapidement exaucée, et le ventre d’Émilie s’arrondit… jusqu’à ce que le cœur du bébé cesse de battre en cours de grossesse. Devant l’inexplicable, elle devra apprendre à vivre avec l’absence de celui qui vivait déjà dans le cœur des siens.
Six ans après les événements de Promets-moi un printemps, Fabienne Dubois mène une vie presque rêvée. Elle adore son emploi dans une maison de soins palliatifs, peint plus que jamais et vit toujours avec son amoureux Fred. De plus, elle a fait une grande découverte en apprenant qu’elle était autiste, un diagnostic qui a redéfini son passé et illumine son quotidien.
Marianne cumule les échecs amoureux, les ambitions impossibles et les illusions confortables. Mais pourquoi c’est si difficile pour elle? Est-ce qu’on est toujours responsable de ses désordres?