L'Adieu au monde retrace, des années 1930 au tournant du millénaire, les trajectoires de trois cousines d’un petit village québécois dont les vies ne cesseront de s’entrecroiser sur plus de sept décennies. Du même âge, Luce, Éliane et Gertrude entrent ensemble au couvent toutes jeunes et deviennent par la suite religieuses dans trois communautés différentes. La première se dévouera pour les malades, la deuxième, pour les jeunes délinquantes tandis que la troisième se consacrera à l’enseignement. Avec elles, on découvre la vie derrière les murs des communautés; comment et pourquoi on devenait religieuse; comment se vivait le quotidien des sœurs en commun, la vie spirituelle et la vie professionnelle; comment se pratiquaient la charité et les vœux d’obéissance, de pauvreté et de chasteté; comment on s’adaptait à la réclusion, hors du monde. L’Adieu au monde, c’est aussi, à travers les destins de ces trois cousines, l’histoire de l’évolution des communautés religieuses au fil du XXe siècle et le chaos qui ébranlera celles-ci pendant la Révolution tranquille. La société évolue; Luce, Éliane et Gertrude aussi. Iront-elles jusqu’à revenir sur les vœux qu’elles ont prononcés et franchir le pas qui les sépare d’un monde dont elles ne connaissent plus rien? Voici une fresque étonnante, parfois même stupéfiante, souvent touchante, où l’on découvre pour la toute première fois la vie des communautés religieuses féminines, de l’intérieur. Qui étaient réellement ces femmes qui donnaient leur vie au Seigneur, l’ «époux bien-aimé» dont elles étaient les «amantes»?
L'Adieu au monde retrace, des années 1930 au tournant du millénaire, les trajectoires de trois cousines d’un petit village québécois dont les vies ne cesseront de s’entrecroiser sur plus de sept décennies. Du même âge, Luce, Éliane et Gertrude entrent ensemble au couvent toutes jeunes et deviennent par la suite religieuses dans trois communautés différentes. La première se dévouera pour les malades, la deuxième, pour les jeunes délinquantes tandis que la troisième se consacrera à l’enseignement. Avec elles, on découvre la vie derrière les murs des communautés; comment et pourquoi on devenait religieuse; comment se vivait le quotidien des sœurs en commun, la vie spirituelle et la vie professionnelle; comment se pratiquaient la charité et les vœux d’obéissance, de pauvreté et de chasteté; comment on s’adaptait à la réclusion, hors du monde. L’Adieu au monde, c’est aussi, à travers les destins de ces trois cousines, l’histoire de l’évolution des communautés religieuses au fil du XXe siècle et le chaos qui ébranlera celles-ci pendant la Révolution tranquille. La société évolue; Luce, Éliane et Gertrude aussi. Iront-elles jusqu’à revenir sur les vœux qu’elles ont prononcés et franchir le pas qui les sépare d’un monde dont elles ne connaissent plus rien? Voici une fresque étonnante, parfois même stupéfiante, souvent touchante, où l’on découvre pour la toute première fois la vie des communautés religieuses féminines, de l’intérieur. Qui étaient réellement ces femmes qui donnaient leur vie au Seigneur, l’ «époux bien-aimé» dont elles étaient les «amantes»?
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