À quinze ans, Emmanuelle fuit comme la peste les conversations improvisées et ne se sent à l’aise que sous l’eau, lors de ses entraînements de natation, où sa timidité passe inaperçue. Sa vie se gonfle de sens et de musique lorsqu’elle fait la connaissance de Thomas, son nouveau voisin. Les deux s’apprivoisent doucement, partageant chaque matin le même banc et les mêmes écouteurs, et se retrouvant à contempler les étoiles lors de soirées autour d’un feu de camp.
Mais tout bascule le jour où Emmanuelle est témoin d’une scène bouleversante, qui créera autour d’elle comme une onde de choc et chamboulera sa relation avec Thomas.
On en parle
Dans Une chaleur de feu de camp, Amélie Panneton parle de grandes choses en les décrivant avec délicatesse, finesse.
– Journal Métro, 17 novembre 2017
Rares sont les auteur.e.s jeunesse qui arrivent à donner une voix unique et réaliste à leurs pesonnages avec tant de talent et de fluidité. [...] Son roman, il est parsemé de musique, de country-folk, de feu de camp, de mots qui traversent le cœur des premiers amours. C'est une œuvre jeunesse des plus divertissantes, mais aussi des plus nécessaires : on y aborde des sujets sérieux tout en gardant une légèreté ainsi qu'une grande humanité.
– Le fil rouge, 21 novembre 2017
L'adolescente romantique, mais réaliste, aura du plaisir à se plonger le nez dans cette histoire d'amour et d'affirmation de soi. Parce qu'on ne choisit pas pour qui notre cœur bat...
– Anne-Marie Lobbe, Le Journal de Montréal, 24 décembre 2017
Un roman doux et nuancé, qui dépeint avec beaucoup de justesse les sentiments ressentis à l'adolescence.
– Marie Allard, La Presse, 22 janvier 2018
Amélie Panneton arrive en jeunesse avec un roman doux comme un soir de fin d'été. Abordant l'amour et ses nuances, mais aussi les conséquences d'une agression sexuelle sur la victime et l'entourage global, elle s'adresse aux lecteurs intermédiaires.
– Sophie lit, Octobre 2017
Une lecture touchante et inspirante sur les hauts et les bas de l'adolescence.
– Kim Benoit-Lapointe, Pieuvre.ca, 19 novembre 2017
La sensibilité et l'authenticité de sa plume nous happent dès les premières pages. La prose d'une qualité cinématographique nous permet de voir chaque scène du récit.
– Marie Ève Vigneault, Lurelu, Hiver 2018