Zoom sur La Ruche
Quoi de mieux qu’un livre de poche à emporter partout avec soi ?
On sait : un livre de poche avec un texte vibrant, un habillage coloré et un prix tout doux !
Cet été, c’est le moment d’apporter vos titres de chez La Ruche dans vos bagages.
Été 1996. Sara et Sébastien, dix ans, deviennent amis autour d’une slush à la cantine du camping où ils passent leurs vacances. Onze ans plus tard, alors que leur relation flirte avec l’ambiguïté, ils décident de partir pour un road trip sans destination précise. En quête d’aventure, les deux jeunes adultes ignorent que bien des surprises les attendent au détour du chemin.
Ode à l’amitié et aux amours de jeunesse, En route vers nowhere est un roman nostalgique nourri aux poutines de casse-croûte sur fond de compilations gravées sur CD. Une épopée romantique au temps où les cellulaires n’étaient pas très intelligents.
Romantique et candide, Florence croyait dur comme fer que son premier amour durerait toujours. Mais la vie s’est vite chargée de lui prouver que la réalité n’est pas comme dans les films. Au fil de ses rencontres, elle échafaude une théorie sur l’amour. Même si elle veut continuer d’y croire, Florence se bute au mur des ruptures, et se laisse doucement aller au cynisme et à la désillusion. Mais lorsqu’on lâche prise, le courant finit bien par nous mener quelque part…
Une série de sketchs tragi-comiques pour rêver à l’amour ou se remettre de ses peines.
En apparence, Émilie et Jake n’ont rien en commun, sauf leurs blessures béantes au cœur et leur travail à la pizzéria du coin. Lui est un jeune acteur prodige tombé de son piédestal. Il mène une vie grise et cherche une raison de la poursuivre. Elle est en dernière année de cégep et rêve de devenir médecin. Ambitieuse et posée, elle se retrouve fragilisée après une rupture.
Au fil de leurs soirées Sprite et placotage, une relation précieuse se tissera entre eux, empreinte de l’espoir que l’aube revient toujours, même après la plus sombre des nuits.
Les vacances d’été tirent à leur fin et Billie n’a toujours rien vécu de grandiose. À 17 ans, alors qu’elle voudrait se laisser tomber dans les bras d’un garçon et goûter à l’amour fou pour la première fois, elle ne fait qu’enchaîner les journées ordinaires dans son long corps en brindille. Mais lorsqu’elle croise le chemin de Pierre, ce cycliste prodige aux boucles dorées et aux cuisses de fer, elle se sent vivre fort, enfin. C’est un grand moment pour son cœur d’adolescente: il va se briser, mais ça ne fera pas si mal.
Récit lumineux, naïf, souvent drôle mais parfois doux-amer, ce premier volet de la trilogie est aussi un regard sur la séduction et le passage d’une jeune femme vers l’âge adulte.
Après avoir passé l’été à servir des grilled-cheese dans un resto du Plateau, Billie emménage avec Rosine dans leur premier appartement de jeunes femmes. Souvent, elle repense à ses chagrins d’amour, mais elle apprécie de plus en plus sa solitude et elle est plus forte qu’avant. Au rythme de ses envies, Billie volera des baisers à un chanteur un peu trop sombre, tentera de prendre soin de sa grande sœur Annette, apprivoisera aussi les petites secousses qui ébranlent encore sa fragile famille. Puis il y aura Maxime… et de l’amour. Du vrai de vrai.
Ce dernier volet de la trilogie est une ode à la liberté, celle d’une jeune femme assumée qui s’épanouit pleinement.
Samuel et Ariane sont amis depuis leur enfance, amoureux depuis presque aussi longtemps. Cependant, même le couple le plus solide peut être ébranlé par certaines décisions déchirantes. Malgré leur volonté, leur amour n’a pu faire oublier des blessures trop profondes. Bouleversée, Ariane a fui en Amérique du Sud. Un an plus tard, Samuel s’est refait une vie du mieux qu’il a pu avec Anaïs, qu’il apprécie sans savoir l’aimer. Anaïs est éprise de Samuel, mais elle sait au fond d’elle-même que leur relation a une date de péremption. Le retour d’Ariane chamboulera leur vie à tous les trois.
Une magnifique histoire portant sur la guérison, le pardon, la force du temps et, évidemment, l’amour.
Chanteuse dans un bistro, Alice trouve sa vie un peu monotone et s’emballe donc quand on lui propose de faire partie d’un groupe de musique. Sur le plan affectif, elle préfère pour l’instant les rencontres sans attache. Maud, pour sa part, travaille dans un gym et rêve de l’amour avec un grand A. Elle a du caractère et sait ce qu’elle veut.
Entre deux 5 à 7, nos héroïnes courent après le bonheur. Une quête qui affecte leur rapport aux hommes, trame de fond de cette fenêtre ouverte sur leur quotidien tantôt rocambolesque, tantôt douloureux, mais jamais dénué d’humour et d’autodérision.