Ces gens-là… Cette expression entendue dans des conversations ou lue dans les journaux ou les magazines décrit un monde qui nous est extérieur, étranger presque. Ces gens-là qui ne sont pas pareils à nous, qui ne croient pas à ce que nous croyons, qui font la guerre quand nous voulons la paix… Ces gens-là si différents tout autour de nous… Mais après tout, ne sommes-nous pas aussi ces gens-là pour les autres? Après Eh bien! la guerre, Monique Bosco nous entraîne à la rencontre de ceux qui, en littérature comme dans la vie, dérangent notre monde en bousculant nos idées reçues. Un essai percutant, un texte d’une grande réflexion qui nous force à revoir notre vision de monde. « Mars 2003. Il fait nuit sur Bagdad. La 25e heure a sonné. Fin de la trêve. Le rideau se lève sur le monde de la guerre. La guerre est là, et la peur se réveille. Depuis longtemps, "ces gens-là" ne voient rien venir de ce qu’on leur avait promis. On n’oublie jamais la guerre, avec sa nuée de malédictions et fléaux. On n’oublie pas, on ne s’habitue pas non plus… »
Ces gens-là… Cette expression entendue dans des conversations ou lue dans les journaux ou les magazines décrit un monde qui nous est extérieur, étranger presque. Ces gens-là qui ne sont pas pareils à nous, qui ne croient pas à ce que nous croyons, qui font la guerre quand nous voulons la paix… Ces gens-là si différents tout autour de nous… Mais après tout, ne sommes-nous pas aussi ces gens-là pour les autres? Après Eh bien! la guerre, Monique Bosco nous entraîne à la rencontre de ceux qui, en littérature comme dans la vie, dérangent notre monde en bousculant nos idées reçues. Un essai percutant, un texte d’une grande réflexion qui nous force à revoir notre vision de monde. « Mars 2003. Il fait nuit sur Bagdad. La 25e heure a sonné. Fin de la trêve. Le rideau se lève sur le monde de la guerre. La guerre est là, et la peur se réveille. Depuis longtemps, "ces gens-là" ne voient rien venir de ce qu’on leur avait promis. On n’oublie jamais la guerre, avec sa nuée de malédictions et fléaux. On n’oublie pas, on ne s’habitue pas non plus… »
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