(5,5 x 8,5 po)
Un bain. Du sang. Un cadavre qui baigne dans le sang... Beaucoup de sang. Beaucoup trop pour une seule personne.
D'où vient tout ce sang? Où sont les autres corps? Pourquoi le bain est-il exposé dans une vitrine?
Au cours de son enquête, l'inspecteur Henri Dufaux croisera notamment des trafiquants d'êtres humains, un mafieux pianiste et philosophe, un ministre adepte de galipettes thaïlandaises, une psychanalyste gentiment sarcastique et un producteur porno qui veut sauver l'Occident...
Croiseront également son chemin : un militaire multidécoré résolument misogyne, une icône de l'art hypercollectif, un pasteur pro-vie qui se prend pour mère Teresa et un homme d'affaires ayant la conscience d'un requin qui aurait suivi des cours de droit...
Dufaux tombera aussi sur un nombre inquiétant de cadavres, en plus de devoir composer avec l'étonnante Lydia Balco, accessoirement directrice adjointe au SCRS.
Par chance, pour l'épauler, il pourra compter sur son épouse, récemment décédée.
On en parle
Pelletier nous présente de vrais personnages intrigants—Dufaux et son équipe rafraîchissent vraiment le genre—dans une écriture fluide et souple qui sent la vraie vie et non seulement le procédé (…)
— Le Devoir
Cette histoire palpitante, riche en rebondissements est ponctuée de dialogues savoureux. La narration est faite à la première personne par Dufaux pince-sans-rire, un brin cynique, qui manie un humour au scalpel. On ne s’ennuie pas une minute dans ce récit parfaitement maîtrisé par un Jean-Jacques Pelletier au sommet de son art.
— La Presse
Un bouquin magnifiquement bien écrit dont le sous-texte propose une critique lucide et acide des milieux politique et médiatique québécois. Une lecture somme toute agréable et divertissante.
— Le Droit
Ce roman policier qui flirte avec l’espionnage nous garantit une intrigue serrée et complexe comme nous y a habitués Jean-Jacques Pelletier, mais l’intérêt de ce roman noir réside surtout dans sa formidable galerie de personnages, tous très originaux.
— Émission «Salut Bonjour», TVA
