Ce titre, Sombre peuple, a été inspiré par un poème des Contemplations de Victor Hugo, qui occupe une place importante dans l’une des nouvelles phares du recueil, Cromwell, où le lecteur retrouvera une grande histoire d’amour comme seule MC Bernard sait les écrire. Les treize histoires qu’elle nous propose, parfois drôles, parfois tragiques, mettent en scène différentes facettes d’un sujet qui interpelle profondément l’auteure: la marginalité. Ces histoires voyagent dans le temps et l’espace, entre la France du XVIe siècle et le Québec du XXIe, en passant par les provinces maritimes du XIXe siècle et la Gaspésie des années 1930. On y observe que la différence dérange toujours, partout, et fait de ceux qui la portent des êtres, sinon invariablement honnis, du moins inévitablement suspects. Quel que soit le climat de ces treize nouvelles (sensuel et tragique, comme dans Cromwell et Le Portrait; tendre et humoristique, Mots croisés; vitriolique, La Crapote et Le Stylo; passionné et aérien, La Messe et L’irréparable outrage), MC Bernard fait mouche à tout coup, que ce soit par la maîtrise de son ton, la surprise de ses chutes, le tourbillon d’émotions au cœur duquel elle piège le lecteur. Peu importe leur quantité, vous trouverez ces nouvelles trop peu nombreuses; peu importe leur longueur, vous les trouverez trop courtes…
Ce titre, Sombre peuple, a été inspiré par un poème des Contemplations de Victor Hugo, qui occupe une place importante dans l’une des nouvelles phares du recueil, Cromwell, où le lecteur retrouvera une grande histoire d’amour comme seule MC Bernard sait les écrire. Les treize histoires qu’elle nous propose, parfois drôles, parfois tragiques, mettent en scène différentes facettes d’un sujet qui interpelle profondément l’auteure: la marginalité. Ces histoires voyagent dans le temps et l’espace, entre la France du XVIe siècle et le Québec du XXIe, en passant par les provinces maritimes du XIXe siècle et la Gaspésie des années 1930. On y observe que la différence dérange toujours, partout, et fait de ceux qui la portent des êtres, sinon invariablement honnis, du moins inévitablement suspects. Quel que soit le climat de ces treize nouvelles (sensuel et tragique, comme dans Cromwell et Le Portrait; tendre et humoristique, Mots croisés; vitriolique, La Crapote et Le Stylo; passionné et aérien, La Messe et L’irréparable outrage), MC Bernard fait mouche à tout coup, que ce soit par la maîtrise de son ton, la surprise de ses chutes, le tourbillon d’émotions au cœur duquel elle piège le lecteur. Peu importe leur quantité, vous trouverez ces nouvelles trop peu nombreuses; peu importe leur longueur, vous les trouverez trop courtes…
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