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Le jeune narrateur poursuit ici sa tâche entreprise dans le premier tome, celle de retranscrire le cahier de bord de son ancêtre, le chevalier des Gastéropodes, le second du Capitaine Popaul. Nous sommes en 1601 alors que le roi de France propose au chevalier de retourner en Nouvelle-France afin d’y établir une colonie. Le chevalier forme une flotte de trois navires et reprend la mer. À ses côtés, nous retrouvons Savinien le luron (le soi-disant Capitaine Popaul), sa fille adoptive Dominique et l’artiste Léonardo Laminci. Des embûches parsèment la traversée et moult dangers guettent les nouveaux venus une fois arrivés à Tadoussac. Si la nation luronne s’avère une alliée, les Chiwawas représentent quant à eux une menace de taille. Suite à une attaque de la nation ennemie, une guerre sans pitié s’installe. Une guerre où se rencontrent les méthodes européennes et celles des nations sauvages. Les préparatifs d’une grande bataille réquisitionnent tous les colons au détriment de l’établissement de la colonie. Pourtant, l’hiver approche à grands pas. Comme le précédent, le récit de ce voyage n’est pas banal. Il nous est transmis comme il a été trouvé, c’est-à-dire, écrit avec le français du XVIIe siècle. Avec humour, le narrateur se permet encore ici quelques commentaires… Alors, quand l’histoire de la colonisation de la Nouvelle-France est revisitée, les interprétations les plus farfelues sont possibles !

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